Vous sentez que vous avez mal ? D'accord, c'est pas bon. Donc prenez le temps de bien écouter. On va faire des répétitions. Est-ce que ça vous plaît ? Bon, alors super. Allons dans le détail, c'est important. Alors, déjà, on peut faire rentrer l'énergie. Parce que là, on vient de manger, on va digérer, d'accord ? Donc on peut faire ça. Ouais, après, on a envie de s'endormir quand on a mangé, la digestion. Voilà. Super, comme ça. Mettez-vous debout, mettez-vous debout. D'accord, on est là. Ici, vers l'extérneur, ça fait du bien. Mais t'es plus comme moi, regardez. Cette posture, la pied parallèle. Et puis on se détend un maximum, d'accord ? Ici, vers le ventre. OK. Ici. Les lamberts. Hein, c'est important. On roule avec notre corps, on n'est qu'assis au pied. Juste avant qu'elle parte, on va lui. Chanter... Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire ! Manon ! Manon ! Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire ! Joyeux anniversaire ! Donc on reprend, on est sur les cuisses. OK. Alors, pour ceux qui n'étaient pas là ce matin, déjà, vous pouvez faire ça, faire rentrer l'énergie, refaire rentrer l'énergie. OK, d'accord. Ensuite, on va tourner la tête comme ça. On va détendre les muscles. D'accord. OK. Ça, c'est important avant de tenter. Faites toujours ça. OK, d'accord. Ici, clavicule, je mets mon bras ici, d'accord ? Et je vais à l'extrême. Pourquoi je fais ça, à votre avis ? Elle a raison. Qui a dit ça ? Ouais, parce qu'en fait, ces muscles-là, ici, qui sont là, tout est relié, en fait. Si on a des tensions ici, forcément, les cordes, elles vont vibrer plus difficilement. OK, regardez, là. OK. Ça aussi. On l'a vu ce matin avec Olivier, mais vraiment. OK, on peut faire ça aussi. De votre côté. On serre les pieds. Ça aussi. OK. Les petits pieds, parce que le chant, c'est de la tête aux pieds. N'oubliez pas, ne tombez pas. Ok ? Ensuite, vous prenez de l'air, respiration de l'automne, d'accord ? Inspiration. Faites toujours un « ch », Parce que ça, ça permet de réguler l'air, et l'air s'en va deux fois moins vite. OK ? Ça vous permet de mieux ressentir. On recommence ? Vous êtes beaux, vu d'en haut, c'est magnifique. Laurence, monte avec moi en haut. Viens prendre des photos d'en haut, là, sur la scène. Ah, je vous ai pas présenté Laurence. Laurence, c'est... Alors, c'est la personne qui a pris des photos de nous l'année dernière, hein, durant le concert, d'accord ? Et qui était là, qui a pris toutes les photos du spectacle, donc on peut l'applaudir, Laurence. On est avec vous aujourd'hui, merci d'avoir été là. Ensuite, vous faites ça, vous prenez de l'air. Alors, essayez de ne pas être en respiration inversée. OK, c'est compliqué. Et ensuite, on reprend une fois. Ok. On va en faire une dernière. Moi, c'est ma préférée, celle-là. Vous prenez de l'air. Et poupée de chiffon, vous relâchez comme ça, là. Je mets une poupée de chiffon. Et là, ça va vous permettre vraiment de relâcher au niveau des lombaires. Ok ? On relâche, on relâche. On peut même toucher le sol, si on veut, au niveau des lombaires, là. Ça fait un bien fou. Vous le sentez, ça ? On le refait une fois ? Je vous détends pour chanter dans un corps détendu. On recommence. Et on relâche. C'est peut-être qu'elle est bien dans cette position, si elle n'est pas remontée. OK ? Ça va ? Allez, on se réveille là, c'est bien, super. Alors, je vous donne quelques techniques aussi pour pouvoir choper votre voix. Alors déjà, vous pouvez faire du humming, d'accord ? Humming. Alors déjà, on va commencer, non, pas par le humming, on va faire les deux hummings. Mode cry, C-R-Y. Le mode cry, c'est pour faire la grosse bouche. Alors ça, les cordes vocales, elles vibrent. Presque pas, parce qu'on est dans un mécanisme zéro. Par contre, ça permet vraiment de choper la voix. Et quand vous sortez d'un cours, faites-le après. C'est bien pour les courbatures vocales aussi. D'accord ? On est vraiment au plus bas. On est dans le mécanisme zéro. OK ? Super. Ensuite, vous pouvez aussi faire le homing. Le homing, ça va vous permettre de centrer la voix. On peut monter par demi-ton. Je vais le faire pégou. Autrement, je le fais. Restez là. On monte par demi-ton. J'ai trop de chance d'avoir pégou. C'est pas bien. Quand vous chauffez la voix, vous n'avez pas besoin de chanter fort. On est dans un réveil vocal. On n'amène pas de tension, OK ? On monte encore d'un demi-tombe. Encore d'un demi-tombe. Encore d'un demi-tombe. Encore d'un demi-tombe. Encore un. Aussi, quand vous chantez, détendez tout votre corps, vous restez en verticalité. Faites pas de... Vous pouvez même froncer. Les sourcils, ça va vous aider. Encore, on remonte. Ok, on pourrait descendre de deux tons et comme ça on va recommencer. Maintenant on va amener du son. Encore. Tu peux prendre des gros pleins de toutes ces petites bouillies là. Ouais, yes, parce que comme ça ils auront un souvenir. Allez, on continue. Allez, on continue, on est sur un A. Et on continue. Tu dois t'éclater quand tu les gères en concert. Tu te prends une énergie là, mais c'est extraordinaire. Franchement, je vous applaudis. Vraiment, bravo. Vous êtes super, super. Ensuite, on va faire le tri. Alors ça, c'est plus difficile. Ça nous donne beaucoup d'informations. On dit ou les bulles ou le tri. Moi, j'aime bien dire les bulles, personnellement. C'est ça, regardez. Alors justement, on va revenir un petit peu à ce qu'on a travaillé ce matin. Essayez d'amener vos demandes, ça va vous aider, puis vous pouvez vous tenir comme ça. Alors on va peut-être déjà, on ne peut pas encore ouvrir l'écran, mais on peut commencer à se mettre un peu plus loin. Bravo ! Tiens, vite ! Regarde, regarde ! Ok, on remonte encore ? Encore un demi-point. Pas comme ça, comme ça. Ouais, c'est dur, ça va ? Prends ton ventre. En plus, si c'est pas, ça veut dire que vous manquez de soutien. Ça manque de soutien, d'accord ? Ça aide ton soutien, ça chauffe l'état de retraite, il y a plein d'autres. Choses à faire, ok ? Regardez maintenant après ça. Les filles, je les vois mortes de rire. J'adore. C'est dur, c'est dur. On va venir du corporel, c'est bienvenu. Super. On est sur une sirène. Vous savez que les cordes vocales, à l'œil nu, humain, en fait, à un moment donné, elles vibrent tellement vite quand on monte dans les aigus qu'on ne peut plus les voir. Vous avez vu ça ? Vous avez vu ? C'est le reflet de mes cordes, ça. En fait, regardez, d'abord c'est grave, je. Suis dans les graves. Ok ? Elles vibrent de plus en plus vite. C'est ce que font les cordes vocales. Plus je suis dans les graves, moins elles vibrent, d'accord ? Et plus je monte, plus elles vibrent vite, plus visibles après à l'œil humain. Vous vous rendez compte ? Ok ? Donc très bien. Voilà les exercices que vous pouvez faire. D'accord ? Et puis après, il y en a un. Ah non, tiens, on va tester leur soutien. On va voir un petit peu ce qui se passe. C'est intéressant. Ça va être plus facile pour toi. On va faire ça. C'est intéressant. On le reverra encore celui-là. Il nous plaît celui-là. On y va ? C'est parti. Trois, quatre. Papopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipopipop Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Et la pression elle est ? Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Alors, comment ça va? Vous avez très pris bière avant de le faire ? Ok, on va y venir justement. Très intéressant. Alors ce matin... Oui ? Alors, ce qu'il faut comprendre, les chauffer c'est important, d'accord ? Par contre faites attention, là vous venez toutes les semaines à la chorale, d'accord ? Des fois, il y a des preuves qui vont miser que sur l'échauffement. Ils vont te faire monter les gammes. Si tu ne sais pas ce que tu fais en gamme, que tu montes comme ça vêtement, c'est pour étirer les cordes vocales. On va les muscler. Les cordes vocales sont un muscle. OK ? Par contre, si... La façon que tu as de faire chauffer la voix à l'élève et qu'il n'y a pas de logique derrière, ça ne sert à rien. D'accord ? Donc moi, à chaque fois que je fais un échauffement, c'est parce que la personne, elle a un trouble quelque part, si je puis dire. Et donc, à ce moment là, je vais aller chauffer sur un exercice qui va lui permettre vraiment, petit à petit, d'aller rééduquer. Je dis à mon fort, mais c'est la vérité. D'accord, on rééduque parfois la voix, le geste. OK, donc voilà. Et puis, pourquoi le chauffer? Tu peux aussi avoir une routine vocale. C'est ça le plus important. Si tu n'as pas pu chanter pendant trois semaines et puis que tu chauffes ta voix comme ça avant d'aller chanter, ça ne sert à rien. Ça va servir un petit peu, mais si tu n'as pas de routine vocale, tu comprends le truc? Chantez chez vous, faites-vous plaisir. Mais c'est un sport. Quand vous chantez, les chanteurs vont être des sportifs. Mais oui, combien de muscles on utilise quand on chante, vous le savez ? 317. Vas-y, Rocky. Les muscles profonds, c'est ça qu'on va voir. Eh oui. Moi, vous savez, je ne fais pas beaucoup de sport et il y a deux ans, je suis montée avec vous là sur scène et je ne sais plus c'est quoi que j'avais fait. Tomber. Ouais, je tombais. Qui a dit ça ? Qui a dit ça ? Je te kiffe, t'es énorme. C'est la voix off, tu sors comme ça. Je kiffe, je kiffe, c'est énorme. OK, on a parlé tout à l'heure, je parlais avec monsieur, ton prénom. Michael, on parlait justement de l'intensité, c'est le volume sonore. D'accord. Donc l'intensité, c'est le volume sonore. Elle dépend de l'amplitude du signal. D'accord. Plus elle est grande, plus le son est perçu fort, plus l'amplitude est réduite, plus le son sera perçu comme faible. Augmenter l'intensité, augmente la pression souplotique. C'est le problème que tu vois, parce qu'il me disait quand il chantait, il chantait trop fort. D'accord. Et plus on monte. Vous allez voir, on va passer à autre chose que la pression après. Mais là, on va finaliser aujourd'hui là dessus. Plus on monte la pression, plus on monte le volume sonore. plus il y a de la pression. C'est pour ça que des fois, nous, en tant que profs de chant, on va faire baisser le volume sonore. On l'aime, la pression, il faut l'aimer. Mais il faut savoir la doser. Et baisser l'intensité diminue la pression subglottique. Prenez une radio. C'est comme si on avait un bouton volume sonore. Asseyez-vous, vous pouvez vous asseoir. Pardonnez-moi. On prend une radio, on a un volume sonore. C'est ça qu'on va apprendre à faire aujourd'hui. C'est les deux points qu'on va voir pour la pression, ok ? Alors si je prends, je vais m'arrêter, moi je suis une radio, comme ça, d'accord ? Et puis, il y a quelqu'un qui vient me monter le volume. Je peux me mettre plus haut peut-être ? C'est ça que vous devez apprendre à faire aussi. Donc, l'amplitude se crée par la variation de pression qui est exercée sur les corps vocaux. Il faut apprendre à faire ça. Ça, c'est important aussi. Chantez à intensité faible, moyen, fort. On va le faire ensemble. Je chante dans une intensité faible. On peut se mettre sur du médium. Là, on est sur l'intensité, d'accord? Parce que des fois, c'est pas parce. Qu'On chante aiguë qu'on doit chanter fort. Mais moi, si j'aime bien le faire ça, moi, je m'en fous, je balance ça, moi, ça m'amuse trop. D'accord? Moyen. Liiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii Liiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Un, deux, trois, quatre Oui, je joue, comme des espérances. Je joue et puis je t'aime toujours. Sans question, ni recours, se donner pour un amour d'amour. Je ne sais. Et là, regardez, je viens avec l'autre. Je viens avec l'autre. Et là, les paroles ! Brûlant, brûlant, brûlant corps Où est l'encore bien créé, entrouillé ? Où est l'encore, même le tout, même le mal ? La terre, assommée. Voilà, là on vient de le faire prévu, on vient de voir que j'étais sur un seul souffle. Crescendo. OK, on peut faire ça. OK, on joue sur les volumes. Encore une fois, on monte encore. OK, on n'aime pas doser. Et cet exercice-là va vraiment vous permettre de pouvoir gérer votre pression aussi. D'accord ? Des fois, on commence sur des tout petits volumes parce qu'on sait que ça va arriver. Le fait d'aller tacler sur un petit volume sonore, quand on sent que la note, elle arrive et qu'elle va être haute, on commence par du tout petit. OK ? Ça, c'est important. Petit volume. I-te-re-ma-ke, li-na-xi-si. Et toi, bon là, je ne suis pas montée haut, mais voilà, pour vous faire voir. Et toi ! D'accord ? Décréchons une note si on peut le faire. Liii. Ok ? Liii. Oui, dans les deux sens, ok ? Super. Allez, OK. Vous avez vu ? Ici, j'ai une fontaine. OK ? Ça vous ramène à quoi ? Regardez le petit bonhomme qu'en dessous, on voit l'impression. J'ai plein de petits bonhommes, ils s'amusent comme ça. OK ? Le fluideau. Iiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii L'attention. Pardon ? Doucement, on est sur les anciennes croyances. La respiration. L'attention. L'attention. Ouais, ok. Il n'y a pas autre chose ? Qu'est-ce que c'est les abdos ? C'est du muscle. Déjà, ton corps... Oh, je n'ai plus mon bonhomme, là. Qu'est-ce qui s'est passé ? Je n'ai pas vu. Il y avait un bonhomme avec un corps, pardonnez-moi. Il y a un bonhomme. Il est fatigué. Dans ton cœur humain, ton corps est un instrument. On l'a évoqué, ça. Et voilà, c'est musculaire. On utilise, c'est ce que je vous disais tout à l'heure, mais bien sûr, si tu n'actives pas le muscle... Le muscle, en fait, c'est ton robinet. Le robinet, tout à l'heure, pour lancer le jet d'eau, c'est ce qui va te permettre d'envoyer la pression. Vous avez déjà fait du pilates ? Ceux qui font du pilates, ils ont conscience des muscles profonds. D'accord ? On va activer les muscles profonds. Alors, on a plusieurs zones qu'on peut activer, d'accord ? Alors, on a ici au niveau de l'abdomen, on a également le périnée, d'accord ? Parfois, on va aller chercher aussi Aujourd'hui, on ne va pas travailler la posture, mais on va beaucoup travailler sur le musculaire. Je vais vous expliquer. Ici, on a les muscles aussi des jambes qu'on peut aller activer. Ça va s'activer. Jeanne, d'accord. On a aussi derrière, on a les dorsaux qu'on peut activer. Important, d'accord. Et ça, là-haut, là. Ça, vous me le détendez, vous me laissez tranquille. Pour l'instant, il faut apprendre à chanter sans tension ici. OK. Là, ici dans le visage, la gorge, ici ça c'est détendu. C'est le musculaire qui va amener de la pression sous les cordes vocales. C'est votre moteur ça. L'air c'est l'essence. Si ça vous l'activez pas, comment vous voulez que ça sorte ? Et c'est le muscle profond, d'accord ? Ici, oh il est moche, il rend pas bien. Les poumons et l'intérieur du thorax. La manière piston, ceci tracte la base des pointes de refouler les viscères vers le bas, ce qu'on appelle souvent à tort, gonfler le ventre. Qu'est-ce qui se passe quand l'air va rentrer dans les poumons ? Les poumons vont abaisser le diaphragme et ça va pousser les viscères, mais on n'a pas d'air dans le ventre. Quand on a couché, on n'a pas d'air dans le ventre. Tout à fait. Alors important, le diaphragme, l'assombrité du diaphragme, en réalité, de freiner les actions expiratoires. Ça veut dire quoi? Le diaphragme freine le retour élastique du poumon et il freine et dose l'action des muscles expirateurs. L'acte vocal ne se fait pas en réalité sur l'inspiration. Mais sur l'expiration, et ça on va le voir, vous allez voir, ça va vous sortir de vos croyances, vous allez le vivre, vous allez voir la différence quand vous allez commencer à chanter sur l'expiration. Ok ? Je vais vous expliquer comment ça fonctionne, d'accord ? Vous ne serez plus, justement, vous ne serez plus dans ce geste inversé. Ok ? What ? Je suis un pro de l'expiration ? Oh pas possible ! Moi j'ai cru qu'il me fallait beaucoup d'air pour chanter. Hein ? Alors, je suis chanteuse, mais quand je chante, je me sens inconfortable. J'ai mal à la gorge. Quand tu chantes, ne priorise pas l'inspiration. Tu es en réalité une professionnelle de l'expiration. N'est-ce pas ? C'est flou pour vous, pour l'instant ? Vous n'allez pas avoir mal, OK ? C'est eux qui nous intéressent. C'est eux. Les muscles expirateurs, ça veut dire. le transverse et le grand droit, les abdominaux et le transverse qui est ici. Les muscles expirateurs support de la voix nous permettent d'aller plus dans la nature et de l'expiration. On est alors dans le volume de réserve expiratoire. Expirer en amenant plus de pression sous la glotte, en particulier pour augmenter le volume du son, pour chanter des notes plus aiguës. Donc important là, quand je chante, Le diaphragme se contracte et s'abaisse. Qu'est-ce qui se passe en réalité ? Vous n'avez pas besoin de prendre une inspiration. Vous avez déjà les poumons pleins. OK ? Vous ne manquez jamais d'air, à moins que vous soyez mort. Quand on meurt, les poumons, excusez-moi de vous dire ça pour que vous vous rendiez compte, ils s'accolent, c'est terminé. OK ? Donc là, l'air rentre dans les poumons. Je vous fais une grande inspiration. Il s'abaisse. L'air rentre dans les poumons, les abdominaux se détendent, la cage thoracique s'expand, c'est elle aussi qui va maintenir quand même un côte basse et moyenne. L'inspiration est passive. Et c'est ça, là, je vais vous expliquer quelque chose. L'inspiration est silencieuse. Vous avez vu, l'inspiration est rapide, l'inspiration est détendue, relâchée, l'inspiration est orale. L'inspiration se positionne à la fin de la reste. Ça veut dire quoi ? Je vous explique. L'arrêt, c'est le phrasé quand vous chantez. D'accord, on appelle ça l'arrêt dans le chant modèle. OK, mon diaphragme. Il est là, il va se compacter. Quand je chante, je finis là, juste deux secondes. Après, je vous montre. Le diaphragme se relâche et remonte quand on est dans l'expiration. D'accord, l'air sort des poumons, les abdominaux et les périnées sont toniques. La cage thoracique maintient l'ancrage le plus longtemps possible. L'expiration est active, le coeur est tonique, l'expiration est sonore. La durée de l'expiration est variable. L'expiration est orale, nasale, gluconasale. Le débit expiratoire est variable. L'expiration est suivie d'une inspiration relâchement. L'expiration est dépendante de la posture. OK? Aussi, on verra plus tard la posture. Allez, venons, on retient ça. Donc ici, ça, c'est le plus important à retenir. Ça, vraiment aujourd'hui. OK ? Donc, comprendre que... Je peux déjà venir dans les poumons. J'ai une capacité à faire. Donc, que je suis sur l'expiration, que je laisse cette longueur de phrase. D'accord ? Mon diaphragme, on va remonter lentement. OK ? C'est son souffle. Le but du diaphragme, c'est de toujours revenir à sa position initiale. OK ? On a le transverse, on souffle. C'est un effet antagoniste. Ça crée comme une seringue, une pompe. Est-ce que c'est clair ? D'accord ? Et ensuite... Donc, je vais vous dire qu'est-ce que c'est que l'inspiration. Quand je parle plus d'inspiration, je dis relâcher. Relâcher ! Quand vous relâchez, l'air rentre naturellement dans les poumons. L'air aime le solipide qui a été créé, si je puis dire. Parce qu'avant que vous n'ayez plus d'air, je vais vous le dire, il en faut quand même. Donc, enlevez-vous de la tête que quand vous chantez, vous allez manquer d'air. Vous avez une capacité d'air incroyable. D'accord ? Donc, cela, ne jamais l'oublier. Donc, on va le faire ensemble. Mettez-vous debout. Allez, réveillez-vous. Bon, je vais venir avec Sandor. Et après, on va chanter. Après on va chanter, ne vous inquiétez pas parce qu'il fallait finaliser avec ça, ok ? On est des pros d'expiration, on n'est pas des pros d'inspiration ! Ok, on se réveille ! Quand moi je chante, je ne mentalise pas l'inspiration, je donne tout d'inspiration ! Il n'y a que ça à faire, t'imagines ? Oh my god ! Vous vous rendez compte là de ce qu'il se passe ? On va mourir hein ! Et puis je vous dis pas, c'est toute la malaise que vous faites là ! Oh là vous la fumez ! Et puis en plus je vous le. Dis, il y en a des polices qui viennent chez moi, ils chantent comme ça. Et puis alors ils font, je comprends pas, je suis pas dans le temps. Ah ouais ? Fais-moi voir, t'es pas dans le temps. Et puis je les écoute chanter. Ah ouais ? Tu crois pas que tu pourrais prioriser ton X-T ? Oublie l'inspiration qui en fait ça, de conscience. Donc vous voyez, le fait des fois de pas être dans le temps, c'est aussi que vous prenez trop d'air. Nous, on pointe, on s'en fout de l'esprit. Là, mettez-moi du corporel, on va le voir. Alors, j'ai bien mêlé Bette, vous n'allez pas l'entendre malheureusement. Alors, pourquoi j'ai mis cette personne ? Pardon pour ma mêlée Bette. Mais quand je vois cette jeune fille, chaque fois que je la vois en tête, elle a des gros problèmes vocaux. Quand je trouve que c'est le reflet parfait, si je puis dire, et malheureusement pour elle. Elle a des nodules, d'accord ? Depuis des années, elle a des problèmes vocaux. Et dernièrement, je l'écoutais parler, elle disait, je ne sais pas, je pense que ça vient que je suis trop sensible dans ma vie. Moi, quand je la vois chanter, en fait, à mon avis, elle prend des cours de chant avec un prof de chant lyrique. Le geste est complètement déséquilibré. Donc elle, La tête à l'arrière, c'est encore une autre histoire. D'accord, on peut le faire parfois. Par contre, ce qu'on voit sur le bas, il n'y a pas d'équilibre. Le geste est super mauvais, pas de détente, beaucoup d'air, beaucoup d'ouverture. OK, trop d'air entre les cordes vocales, ce qui fait qu'elle est complètement déséquilibrée. Et puis, elle n'est même pas dans sa tonne à parfois. Attention, c'est ça qui crée des modules. Malheureusement, je ne peux pas vous le faire écouter, mais si on l'écoutait, vous verriez, elle est en souffrance. Allez le voir ça. Voilà, allez voir ça. Vous allez voir, c'est très impressionnant d'entendre comment elle se fait mal. En fait, ça fait trop de la peine. Quand je la vois, ça me fait souffler, ça fait de la peine. Et en fait, si on rééquilibrait son geste, et bien, et en fait même, elle est sur un mode inspiration. D'accord ? Donc, là ici, pression d'air, je suis à pro de l'expiration, donc j'apprends à mener mon ventre de l'extérieur à l'intérieur. OK ? Et ensuite, je vois ce que j'ai mis. C'est une grand-mère, moi je vais tout révéler. Je suis un pro de l'expiration. Dans l'expiration, on est active. Et gâchant des inspirations, on est facile. Donc, ça veut dire qu'on relâche. Donc, ici, regardez, on va amener du corporel, ça va nous aider. On y va. On ne passe pas des papopipopipo. On y revient. Et puis ensuite, papopipopipo. Et puis, vous allez lâcher. Quand vous faites ça, ça va relâcher au niveau du diaphragme et va revenir à sa position initiale. Et en réalité, l'air va vous rentrer naturellement dans les poumons. Des fois, ça peut être une microseconde. OK ? On y va. Vous ne prenez pas d'air, vous avez déjà de l'air dans les poumons. Vous avez de l'air. Prenez pas de viande, vous avez déjà de la viande dans les poumons. On y va, on commence. Trois, quatre. Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Paro-pi-po-pi-po-pi-po Paro-pi-po-pi-po-pi-po Paro-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Paro-pi-po-pi-po-pi-po Paro-pi-po-pi-po-pi-po Paro-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Paro-pi-po-pi-po-pi-po Paro-pi-po-pi-po-pi-po Paro-pi-po-pi-po-pi-po Pa-po-pa Ok, comment ça allait là ? Est-ce que vous avez mentalisé l'aspiration ? Oui, oui. Non, moi j'ai pas mentalisé l'aspiration. C'est naturel. Alors, qui a mentalisé l'aspiration ? Mais bravo, je suis surpris. Par contre, j'ai entendu une grande inspiration tout à l'heure. Je sais pas qui c'était, je l'ai cherché. J'ai entendu un... Vous avez entendu ? L'aspiration, elle n'est pas sonore. Je l'ai entendu. Ok, recommençons. À 5%, on va optimiser l'air, mais en réalité, sur le reste, on n'optimise jamais l'air. On recommence. 3, 4. Chant. Chant. Paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo. Paro pipo pipo pipo paro pipo pipo. Pipo paro pipo pipo pipo paro paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo. Pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo. Paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo pipo pipo paro pipo Elle est toute la différence. On ne crispe pas. D'accord, Pégou ? Oui, je te mute. Tu peux ? C'est comme toi. Exactement. On va l'écouter, tout seul. D'accord ? Non, il ne faut pas que tu crispes ! Ferme tes mains, ne crispe pas ! Ferme ! ... ... ... Là, elle est tranquille. Je vais vous faire un peu sa posture, inquiète-fait, d'accord ? Là, déjà, on entend que les corps sont fatigués. On entend qu'ils sont fatigués. Les corps, déjà, pour moi, sont très fatigués. Tu peux avancer ma pégoue ? Là, elle est encore basse. Encore, encore. Comme toi, comme toi, comme toi. Elle est en direct, là ? Ouais, c'est là. Elles semblent des sœurs, là. Elles n'avaient pas vu le temps. J'entendais. C'était une sœur. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J'entendais. J' Elle souffle ! Oui ! C'est honoreux de les voir, vous savez. Elle souffle, d'accord ? Ecoutez-la. Elle a marre de subir la pression sur l'autre. Elle ne s'arrête pas d'agir. OK ? Donc, vous voyez ça ? Tu peux l'arrêter, m'appeler. Ça, vous voyez, c'est le reflet complet d'une personne qui n'utilise pas du tout ses muscles profonds. Alors, si moi, je l'avais en cours, pardonnez-moi, ça peut vous paraître un peu exagéré. On va lui envoyer le domadeur. Mais chaque fois que je la vois, j'ai de la peine. En fait. Alors, votre avis, c'est important, ce qu'elle est en train de dire. Vous voyez, justement, on est en train d'évoluer en France et comprendre qu'en réalité, trop longtemps, on a donné des cours de chant moderne avec des professeurs qui étaient professeurs de chant lyrique. C'est comme si moi, je lui donnais des cours de chant lyrique. Je pourrais, j'ai le mode vocal, mais j'en ai de la vie. Je ne suis pas prof de chant lyrique, moi. Donc, ça veut dire qu'on va donner des cours de chant lyrique sur une technique, une technique lyrique sur du chant moderne. Impossible. Karine, tu penses pas qu'elle a peut-être voulu montrer la souffrance, justement ? Ah non, pas du tout. La souffrance, on peut l'amener dans l'interprétation, d'accord. Ah ouais, c'est dommage qu'il n'y ait pas l'image. En tous les cas, ce que je veux dire, là, pour le coup, Pour le coup, elle est vraiment en difficulté, le geste n'est vraiment pas équilibré. J'entends ce que tu veux dire, c'est bienvenu. Non, non, mais attends, ça n'a rien à voir. Moi, si je suis dans la souffrance... Par contre, mon geste, il est équilibré en dessous. J'ai trop mal, mais elle n'utilise pas les muscles profonds. Elle est dans un système... À mon avis, elle sort le ventre quand elle chante. On y est, elle sort le ventre. Méthodologie lyrique. Dans notre ventre, il doit... Rentrez ! Et de toute façon, c'est la nature qui fait ça, c'est pas moi qui l'ai inventé ! D'accord ? Non, maintenant, on va se refaire les mènes. Viens, on se refait. On va se faire rapider. Allez, vous allez lâcher. Rangez-moi les chaises, là, vous n'en avez plus besoin. On va se faire du carburant. Allez, on y va. Alors, regardez. Regardez, justement, on va détailler cette chanson. Alors, préparez vos affidées, vous vous rendez pas les réponses. Là, vous faites ça en chant vide. D'accord ? Si vous faites ça, on va plus savoir qui fait quoi. Ok ? On y va. Quand vous chantez, vous fermez les mains. Quand vous avez 10 secondes, vous lâchez et revenez quand vous chantez. Bon âge ! Bon âge ! Bon âge ! Bon âge ! Bon âge ! Bon âge ! Bon âge ! C'est fini, hein ? On continue ? Vous connaissez les paroles. On répète. Vous êtes toujours pareil. Ça va ? On fait encore la répète, d'accord ? Alors, habituez-vous, habituez-vous à amener ce corps pour elle, parce que ne crispez pas. Je chante. Quand vous faites ça, est-ce qu'on est dans les graves, les médias ou les musiques ? Dites-moi un petit peu, quand on fait ça, quand on est au début. Quand est-ce qu'ils montrent notre chanson ? Ça veut dire que dans la pression que je dois amener, c'est... Plus, plus. Plus, plus. OK ? On n'est pas détendu. Imaginez-vous, moi, quand je suis en train de faire... Ici, j'ai pas besoin d'énergie. Ah oui, j'ai oublié de vous dire un truc super important. Pardonnez-moi. Alors, est-ce que je devrais parler, ce truc ? Merde, merde, merde... Il est là. Pensez toujours, ici en bas, regardez. Musculaire, ça associe à l'énergie. OK, pour aller tacler dans le musculaire. Pensez, musculaire égale énergie. OK ? Donc, ça veut dire quoi ? Ça veut dire... Quand je chante au début de la chanson, je compartimente ma chanson en détail, on bosse la chanson à fond là, vous êtes d'accord ? Ok, je compartimente ma chanson. Donc je suis dans les graves, là j'étais plus basse. D'accord ? Juste pour faire voir l'énergie. J'ai besoin de beaucoup d'énergie ? D'accord. Je suis détendue. Allez-y, dans ce tonneau. C'est mieux de chanter dans les graves. Détend. Voilà. Ok, on voit là, vous avez vu ? Ok, on monte un ton, on refait ? Est-ce qu'il y a un peu plus d'énergie là ? Ah oui, on joue un peu plus de musculaire, plus de profond ! Voilà, et tout plus d'énergie. C'est pas grave si vous dites n'importe. Quoi, c'est pas grave. Allez, chantez-le. On monte encore un temps. Encore un temps. Je mors, alors est-ce qu'il me faut plus d'énergie ? Eh ben oui ! Allez, on y va ! Et on va mettre du musculaire, du muscle profond ! Oh, happy day ! Allez ! Oh, happy day ! C'est très sympa, détends ! When Jesus washed... C'est du muscle profond ! When Jesus washed... When Jesus washed... Et là, on tourne les seins et on. Va se mettre sur le complet. Donc, vous avez vu, ici, pour l'instant, je suis sur le même orbitus, en permanence, je monte pas trop, tranquille. Ensuite, je vais m'appréhender en énergie, plus, plus, plus. Donc, je vais devoir amener plus de. Musculaire, plus de muscles profonds. Oh happy day, oh happy day, when Jesus washed, oh when Jesus washed, when Jesus washed, when Jesus cleansed away. On fait le refrain sur le dernier. Oh on est où là ? C'est trop haut là ! On va aller de l'autre côté. Allez on reprend demain ! Every day. Every day. OK. On peut le faire plus longtemps. C'est pas dimanche, c'est pas la messe. OK. Allez, je veux celle-là moi. It's a tree. On y va. Trois, quatre. It's a tree. Tous les jours, tous les jours. Ça va ? On va voir justement ce qu'il s'est passé. Tu commences sur couplet, on donne une image. Bon, je vais voir un coup. Vous avez vu ça ? Parce que je ne m'entends pas assez. Ça, je n'ai pas fait grand-chose, mais on tousse des fois parce que c'est. La pression qui motive. Je vais lire un tour. Là, c'est très important ce que je suis en train de vous dire. L'ouverture de la bouche est dépendante de l'énergie que vous mettez. Ça veut dire, plus je mets de l'énergie, plus j'ouvre la bouche. La bouche, je l'ouvre en verticalité, hein. D'accord ? Parce que c'est comme si vous avez jugé d'eau, l'eau elle part, et puis. Vous bougez le trou. Vous allez voir ce que ça fait. On tousse. Quand vous toussez, c'est que vous ouvrez face à la bouche. Ça vous arrive souvent ? Levez-moi les mains. Ça veut dire que vous envoyez beaucoup d'énergie, mais que vous n'ouvrez pas la bouche. Vous ouvrez. Plus je mets de l'énergie, plus j'ouvre la bouche. On a eu ce problème, je vous le dis personnellement, pendant des années. Ça venait de là en fait, j'ai eu problème beaucoup. On ouvre. Il y a la pression qui arrive. Si tu envoies une tonne de pression et que tu n'ouvres pas la bouche, on sait qu'elle part la pression. Ok ? On y va. Fais nous voir. Ouais ? Ou même tu peux tout nous l'affirmer. Justement, il faut voir l'étage. Oh, happy day. Oh, happy day. Oh, happy day. When Jesus falls When Jesus falls Wash my sins away Oh happy day Oh. Happy day Oh happy day Oh happy day When Jesus falls. Ok, il est détendu, il n'y a pas de... Ok, arrête là deux secondes. Qu'est-ce qui s'est passé là ? Je n'étais pas sûre de la note, du coup j'ai commencé à fermer. Ok, d'accord. Tu penses que tu mets assez d'énergie, que tu mets assez de musculaire quand tu chantes ? Il m'a dit oui. Il a dit oui, je pense. Non, par contre, il a dit quoi, là ? Non. Tu mets pas assez d'énergie ? Oui. Qu'est-ce qu'il y a ? OK, vas-y, on recommence. C'est intéressant, justement. Musique. Est-ce qu'on a le droit de faire des petits textes comme ça? Merci infiniment. D'accord, on va regarder, d'accord. Alors, vous avez vu, dans cette chanson, ce qu'il faut analyser, c'est qu'on va compartimenter notre chanson. Quand on est dans les couplets, compartimentez toujours votre chanson quand vous chantez. D'accord, pour justement aller travailler sur ce qu'on a dit tout à l'heure, aller travailler sur les graves, les médiums, les aigus, aller travailler aussi sur la fréquence. Comment je vais varier avec mon volume. N'hésitez pas à travailler là-dessus. Compartimentez toujours. Là, on a quand elle est au début de la chanson, quand elle est dans les couplets, on va dire qu'elle est détendue. Là, je suis dans l'air tranquille. OK, je n'ai pas besoin de chercher à amener de l'énergie. Quand elle arrive sur le refrain, elle va avoir besoin de plus de musculaire. Moi ce que j'ai entendu là, c'est qu'il n'y avait pas beaucoup de différence entre le couplet et le refrain. D'accord ? Vous l'avez perçu ? D'accord ? Donc, qu'est-ce que tu ferais toi ? Je mettrais moins sur le couplet pour pouvoir avoir de la marge. Parce que là, niveau soutien, j'ai pratiquement le même soutien dans l'un ou dans l'autre. Pratiquement en tant que ressenti en tout cas. D'accord, très bien, c'est en ressenti, très bien. Du coup, je donnerais moins en intensité au couplet pour pouvoir équilibrer. Pour qu'on entende la différence. OK, on essaye de le faire, on voit ce qui se passe. Oh, dis ce que tu ressens, c'est très bien. Chantelle, justement, dis ce que tu me dis, ne t'inquiète pas. Oh, baby Oh Happy Day Oh Happy Day Oh Happy Day Oh Happy Day. OK, deux secondes, on arrête. Est-ce que la chanson, regardez bien, c'est très important ce qu'on est en train de vivre. Est-ce que la chanson, dès le début, elle te demande... Alors, prenez une échelle de A à 10. On va prendre une échelle de A à 10. Prenez toujours cette échelle. OK, on a pris le baromètre, nous, on va prendre l'échelle. Cette chanson, elle est comment ? Est-ce qu'elle est dans la joie ? Est-ce qu'elle est dans la tristesse ? Elle est dans la joie, elle est quand même dans l'énergie. Donc, quand on la commence sur une échelle de A à 10, on doit être à combien au niveau de l'énergie ? 7 ? Non, au début, dans le couplet. On est à 4 ? Allez, ok, mets-toi à 4 dans l'énergie. C'est intéressant, hein ? Allez, donne un choix ! Oh, happy day Oh, happy day When tears are splashed. Encore ce refrain. Everyday ! Everyday ! Everyday ! Voilà ! Alors, tu commences par ton état, on a commencé à 4, on vit dans son énergie, il est passé à 7 ! C'est pas difficile de le faire ! Oh, happy day ! Ça c'est dans le jazz, tu peux faire ça, d'accord ? Là on est dans la religion, ce. Que c'est que ce paix là. Faut que tu nourrisses là le public, hein. Tu vois ? Parce que toi il va faire... Qu'est-ce que tu veux ? Tu vois le truc ? Je vais te donner une image, hein, d'accord ? Et après ? Ah ! Oh y'en a un ! Ça rime ! He touched me haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaa Everyday ! Et voilà ! Bien ! Pourquoi tu manques toujours quand tu chantes ? Prends aussi l'origine de la chanson ! Demain je fais du rock'n'roll, quand je t'applaudirai, vous croyez que j'arrive et que je suis comme ça, t'es connu ? Alors, au début t'es... Je suis pas dans l'air là ! On va s'approcher à quatre, ok ? Et ensuite, quand t'arrives au refrain... Allez ! C'est important ce qu'il faut que tu retiennes, tu as peur de la lâcher ? Alors attention, je vais te dire quelque chose de très important aujourd'hui. Trop longtemps on a misé sur l'ouverture de la bouche. Retenez bien, c'est très important ce que je vais vous dire. On a parlé de quoi ce matin ? De la pression sous boule de kick. D'accord ? Donc ta pression qui arrive sous les cordes, l'énergie que tu vas mettre dans ta voix, égale plus de pression. Normal, tu veux pas que tu exposes ma balle. Ne mise pas sur l'ouverture. L'ouverture est dépendante de la pression sous glottis. Non mais regarde bien, moi je te donne une image. Si demain je fais... J'ai oublié de la pression sous-blotine. Vous avez vu, j'ai ouvert alors qu'il n'y a pas de pression. Regarde bien. Télémaquette, suivre l'étoile. Là, je n'ai pas beaucoup de pression en réalité. Télémaquette. Je n'ai pas besoin d'ouvrir pour l'instant. Télémaquette, suivre l'étoile. Là j'ai besoin, pourquoi ? J'ai amené plus d'énergie sur mes cordes. Donc de ce fait, je dois ouvrir plus. Mais ça, ça c'est une pièce de résonance extraordinaire, vous retenez bien. C'est comme demain, vous prenez une guitare, vous mettez d'eau rosa et ça ne résonne plus votre guitare. D'accord ? Donc n'ouvrez pas bêtement. C'est magiaque. C'est magiaque. Le venton toujours vers le bas pour l'instant. Ouvre en verticalité. Tu vois ce que je veux dire ? C'est vraiment une bonne chanson. C'est super intéressant. Merci Jeanne. C'est intéressant que vous regardiez. D'accord ? Ça va, je n'allais pas forcément parler. De couverture, mais on y vient, d'accord ? Ok. Essayez de m'amener moins de musicalité, s'il te plaît. Je n'ai pas besoin des pompons et des tutus. Moi, ce que j'aimerais là, c'est que... Pardon, attention, on est en train de travailler à la racine de la voix, à la voix mise en ligne, ok ? Moi, ce que je veux là pour l'instant, tu me le fais dans un son pur, presque à l'auteur de ta voix parlée. Alors, on peut redescendre ? Téléma ! Ok, on continue. Suivre l'histoire Peu m'importe ma chance, peu m'importe le temps. Où ma désespérance, puis-je lutter toujours ? Ne veut-il qu'on y repose, se donner, pour leurs impôts d'amour ? Oui, je serais le seul héros Oui, mais mon cœur me dit Et il est dit C'est que la peau serait le bleu Oui, parce qu'un malheureux... OK, merci, maintenant. Regarde, qu'est-ce que t'as fait, là ? Est-ce que c'était mieux ? Oui ! Alors, j'entends ce que tu veux faire. En fait, ce que tu veux faire à chaque fois, Priorise toujours. D'abord on travaille à la racine de la voix. On met la voix pure, tu vois, allumée. Ok ? Vache, en fait tu as vu, tu as moins ouvert. Comment a été ton son ? Comment a été son son ? Très beau. Il était bien rond ton son. Tu n'as pas priorisé une ouverture. D'accord ? Tu as priorisé quoi ? Le son, de ta pure, de ta voix. D'accord ? Après, tu peux aller amener de la nuance et de la musique à descendre sur ta voix. Mais d'abord, écris pour ton son. Ça, c'est une pièce de résonance extraordinaire. Regardez. C'est des résonateurs, c'est des filtres. Si vous commencez à trop ouvrir... Regardez, s'il vous plaît. Télémaquette ! Suivre l'étoile ! OK ? Différence. Télémaquette ! Suivre l'étoile ! Je joue sur ma caisse de résonance, qui est la troisième zone, qui sont les filtres et les résonateurs. Ça, c'est une richesse, d'accord ? Après, tu sais ce qu'on dit quand on ouvre trop ? On dit qu'on a une voix blanche. OK ? Trop d'ouverture, tue l'ouverture. Tue la résonance que tu peux avoir. Une voix blanche, ça veut dire qu'on laisse plus la tête. Quand tu parles, tu parles comme ça. Quand on parle, bonjour. Quand on part, pour l'instant on revient à la voie parisienne, c'est toujours mieux d'aller la voie parisienne. On revient toujours un peu à elle. Et puis on est en train de parler, il y a également de la pression sous mon corps, d'autre part elle ne pourrait pas l'ouvrir, bien sûr à moindres ris. Mais comprendre que ça c'est très important, de comprendre qu'on n'a pas besoin d'aller. Ton souci c'est pas là, c'est sur le musculaire. Reste en verticalité s'il te plaît. Ne cherche pas à trop en bénir au début quand tu travailles. Après, tu peux aller en bénir. Après, tu peux rajouter les pompons, les tutus, ce que tu veux. Mais reste à l'étendue de ta voix. Ta voix, elle est deux fois plus belle. Elle ressortait deux fois mieux. Tu sais, des fois, c'est pas de chercher à trop en bénir, pour mon avis. C'est d'aller chercher les choeurs. Et ça passe par là, tu vois. Des fois, trop, trop, trop, trop de musicalité. Tuues, tuues, tuues l'intensité, ce que tu pourrais amener. Tu vois, c'est ça, c'est d'aller chercher les choeurs, en fait. Tu vois ce que je veux dire ? C'est pas forcément d'aller trop en délire. Souvent, on recherche ça. Dès que vous chantez, souvent, comme humain, on veut absolument que ce soit beau. Non ! Ne cherchez pas à ce que ce soit beau. D'abord, allez vous connecter à votre corps physique. D'accord ? Tu nous le refais encore, Télémaquette ? On y va ? Télémaquette ? Chantez quand même. Télémaquette de suivre l'étoile Que m'importe ma chance, que m'importe le temps, ou ma désespérance, je vais lutter toujours, sans question, ni repos, ce dernier pour l'enfermement d'amour. Je ne sais si je serai ce héros, mais mon cœur serait tranquille. Et les villes s'éclabousseraient de bleu Parce qu'un heureux Brûle encore, bien tout brûlé Brûle encore, même trop, même mal. Toi. T'Indras sans me garder, pour autant. L'île n'a cessé, tu es, et toi, et soi. Apprends d'abord à projeter, à ouvrir comme il faut en verticalité, mais après tu peux doser, tu fais ce que tu veux, c'est toi la chair, d'accord ? Mais là, le étoile, il a plutôt intérêt à être pétant, hein ? D'accord ? Parce que s'il l'est pas... Donc t'étais en 3, tu te mets comme moi, tu vas faire ça, tu vas réactiver... Active-moi ici le... Mais t'es puissant, regardez, regardez-moi. Tu vas mettre de la résistance ici sur ton ventre quand tu montes la note. Étoile ! Ok, moi ce que je veux ici, la pression elle est sur le toit, elle n'est pas avant, d'accord ? Donc tu mets ton bras un petit peu vers l'avant, ça peut aider parce qu'on est sur le musculaire. Ok, on y va ? J'ai tendance à vouloir, ça vient peut-être du lyrique, toujours préparer toute la pression, enfin tout le soutien avant. Donc dans ma tête là, si j'avais. Travaillé seule, je me serais dit que le étoile il peut déjà... Non, la. Pression elle est sur le toit, elle n'est pas sur le... Peut-être que ça. Fait partie des choses qui bloquent. Ouais, exactement. Des fois c'est que vos pressions elles sont allées dans un endroit, des pressions, moi j'appelle ça des pètes d'énergie, d'accord ? On va donner cette image. Le pète d'énergie, il a un instant bien précis. OK ? Il n'est pas avant, il n'est pas... Parce que si moi je le fais, regardez. Et toi ! Non, je ne peux pas faire. C'est ça la clitophrène, d'accord ? Donc comprendez, c'est ce que je vous parlais tout à l'heure quand on nuance. Moi là, si je prends la phrase, je la reprends. Je passe de 3 à 7. Et toi ! Tenez comme moi, faites comme moi les amis. Pour autant, l'inaccessible Vous avez vu, c'est de faire des petits ateliers comme ça. Vous avez vu la différence ? Alors au début, elle est arrivée. Attention, je me moque pas. C'est parfait comme elle chante. C'est magnifique. En plus, elle a la chance d'être avec Peggy. C'est assez incroyable. C'est une chance d'être avec moi. Mais au début, c'était... Tu vois, tu priorisais vraiment la beauté du truc. Là, pour le coup, ce qui est important, C'est la chanson, regarde toujours, compartimente, qu'est-ce qu'elle te demande. D'accord ? En énergie. Visualise ainsi. D'accord ? Et tes pètes d'énergie, va voir où c'est que tu les places. Ça, c'est super important. OK ? Parce que la chanson, elle n'est pas toujours en énergie. OK ? Donc elle n'est pas toujours musculaire. OK ? On se refait les mains ? Allez, on y va. On va partir là-dessus. Bravo Jeanne, bravo. On y va, on monte et vous mettez de l'énergie, c'est important. Et le fond de main. Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Vous êtes d'accord ? On y va ? On re-entre. Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Encore ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Amen ! Allez, on y va encore ! J'ai un 6 ! J'ai un 6 ! OK, on arrête. On peut se faire meurtre. D'accord ? On fait attention. Vous avez vu, plus on donne de l'énergie, plus j'ai de la pression, plus je vais activer au niveau énergie, et des fois, j'ai de l'effet de l'énergie. On va chanter une autre chanson, ok ? Allez-y, regarde. Allez, venez, je vous mets des paroles. Vous pouvez vous les distribuer. Moi, j'en garde une. Oui. ... ... ... Allez, vous allez chanter ! On y va ? On va commencer la chanson. Tu commences sur quoi ? Tu commences sur quoi avec le contraire ? Je vis comme si j'étais en vacances Je vis comme si j'étais éternelle Comme si les nouvelles étaient sans problème Moi, je vis d'amour et de rire Comme s'il n'y avait rien à dire, j'ai tout le temps d'écrire mes mémoires, d'écrire mon histoire à l'encre. Laissez-moi danser, laissez-moi. Laissez-moi danser, chanter en liberté tout l'été. Laissez-moi danser. Laissez-moi aller jusqu'au bout du rêve. One day, just another morning. Tuesday, I only feel like giving. Ah, vous pouvez le faire ? Ok. Si j'avais libre et en équilibre, moi, je vis d'amour et de riz. Je vis aussi bien faire bien natif. J'ai tout le temps d'écrire mes mémoires, d'écrire mon histoire à l'encre bleue. Laissez-moi Laissez-moi, laissez-moi danser, chanter en liberté tout l'été. Laissez-moi danser, laissez-moi aller jusqu'au bout du rêve. Just another morning, Tuesday I only feel like living Then sing along with every song Ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, ah, Laissez-moi Laissez-moi danser, chanter en liberté tout l'été Laissez-moi danser Laissez-moi aller jusqu'au bout du rêve OK. OK. Comment c'est pour vous ? C'est agréable ? Oui, très agréable. Oui, je sais. C'est difficile. Où sont les atos, là ? Où sont les... OK. Ok, chantez juste les altos là, s'il vous plaît. Vous pouvez faire votre partie. Les sopranos, vous ne chantez pas pour l'instant. Est-ce que vous en pensez quoi ? Il y en a pour deux secondes, hein. C'est très important. C'est intéressant, on se demande tout ça. Allez, on y va. Laissez-moi danser Laissez-moi danser Laissez-moi Laissez-moi danser, chanter en liberté tout l'été Laissez-moi danser Laissez-moi aller jusqu'au bout du rêve. Ok ? Allez, vous les rejoignez. Vous allez leur envoyer si c'est possible pour vous de la créer. Elles ont une autre voix normalement. Oui, je sais. Moi j'ai pas trop envie de celle-là. Je vais la mettre là pour découvrir un autre mécanisme. Allez, on va essayer, on va voir ce qu'il se passe. C'est bien intéressant. Vous allez vous tester. C'est pas grave. Allez, on est déconcieux ? On se challenge ! Vous changez la même chose que les autres. Je vous donne la photo. Alors, moi j'ai une idée. Les autres, vous mettez au milieu et les autres, vous mettez autour. Pour avancer la ligne. Yeah, bravo pour vous ! Allez, allez ! Il n'y a pas de mieux qu'à se tordre pour aller bouger les pouces. Ce que vous avez déjà fait, moi je le sais, il n'y a pas de soucis. Allez, allez, gratouille, ça fait mal. Allez, on y va. Ah, vous êtes en quoi ? Alors, mettez-vous tous ensemble. Restez dans les ténors, pour l'instant. Moi, je veux Soprano et Soprano, et Soprano, je veux dire, alto. Et vous, restez dans votre sol, d'accord ? Comme d'habitude. Bravo, Jacques. C'est pas ça ton moteur. C'est la finalité du son, ça. Ok ? C'est tout. Allez, on y va. Mais. Hé, écoutez-moi bien. Les sopranes, revenez à votre voix parlée. Quand tu parles, tu me parles pas comme ça. Bonjour, tu vas bien ? Ça va ? Ça va pas ? Envoie-toi une petite bonjour. Viens te parler. Ça va ? Ça va bien ? Ça va bien ? Non, moi je suis antipoisse, j'habite en Antibes, je l'affirme, parce que c'est le principe. Mélinde, on va parler. Allez, on y va. Laissez-moi danser, laissez-moi, laissez-moi danser, chanter en liberté, Tout l'été, laissez-moi danser. Laissez-moi aller jusqu'au bout du rêve. Comment c'était les soprano de Bastien Mathieu ? Moi, parler. Vous voulez que je vous dise un truc ? Tout le monde devrait apprendre à chanter sur la voix parlée. Pour commencer, pour commencer. OK ? On va commencer une dernière fois. Et après, on va faire de la chanson. Laissez-moi danser. Chantez ! Laissez-moi. Laissez-moi danser, chanter en liberté. Tout l'été, laissez-moi danser. Laissez-moi aller jusqu'au bout du rêve. Bravo ! Regardez ce que j'ai dit tout à l'heure. J'ai dit, on apprend à s'encrer dans les graves et les... Médias ! C'est là où ça passe. C'est là où on ressent la pression, si vous évitez la pression. Vous savez, quand vous êtes en soprano, vous ressentez pas la pression. On est d'accord ? Vous avez vu la différence ? C'est là où j'apprends à manquer. Après, tu viens à aller faire tes voix de tête. Fais-moi confiance. Attention, la voix de tête, c'est bien mieux. D'accord ? Je vous le fais. Vous avez vu, j'ai basculé. J'ai fait une voix de tête après une voix mixte. Ok ? On aime pas faire ça. Mais j'aime ma voix de tête. Ok ? On y va. Elle chante. Allez, on met en pratique justement. Ma voix est projetée. Ok ? On y va. Toute seule. Justement, ça devient super intéressant parce que vous savez quoi ? Quand vous êtes en chorale, là, vous vous cachez. Je prends ce qu'elle est en train de faire à côté et c'est bien plus. C'est pour ça que quand on est en chorale, ça marche si bien. Mais vous savez quoi ? Vous n'êtes pas là aujourd'hui pour faire réellement de la chorale. Là, vous êtes venus pour vous perfectionner dans la voix lead. Est-ce qu'on est d'accord ? Et aussi, pour vous perfectionner dans votre voix chorale. Mais passez par là d'abord, OK ? On y va. À nous, madame. Laissez-moi danser... Alors, vous avez vu ce qu'elle fait, déjà ? Alors, joue ce mot. T'as quoi ? Mais t'as pas de voix. Mais t'as pas de voix. Si tu dis ça, tu t'envoies déjà une mauvaise idée. Laissez pas le mental prendre au-dessus. Regarde, fais-moi. Laissez-moi danser. Laissez-moi... Non, pas moi d'abord. Laissez-moi danser. Laissez-moi danser. Allez, vas-y. Ah non, attendez, taisez-vous. C'est important, ce que je suis en train de me faire faire. Vous allez voir, justement, pour que vous puissiez le refaire, OK ? T'es là. Ta voix, elle part de là et elle est devant. On y va, allez. Laissez-moi danser Allez les deux avant ta voix. Relâche. Bah oui allez. Ok Yolande, très bien. Comment ça t'a été pour toi là ? C'est son habitude, c'est ce qu'elle a enregistré, c'est son auto-basisme. D'accord ? Ok. Alors vas-y, fais-nous le en soprano. Tu peux nous aider ? On va voir, on va s'amuser. T'es sur l'expi là, quand tu chantes, toi ? Est-ce que tu chantes sur l'expi ou sur l'inspi ? Elle est sur quoi ? Elle est sur l'inspi ! Moi, je fais de l'expi, donc ton son, il est projeté devant. Vas-y. Laissez-moi danser. Projette-toi, Marion, là. Laissez-moi. Voilà. Laissez-moi danser, chanter en tout liberté. Laissez-moi danser. C'est ce que tu fais de la vie. Laissez-moi. Aller jusqu'au bout du rêve. Ok, tu peux aller descendre un peu plus bas que là-haut. Laissez-moi danser. Laissez-moi. Laissez-moi danser, chanter en liberté tout l'été. Laissez-moi danser, laissez-moi aller jusqu'au bout du rêve. Pourquoi ? Parce qu'en réalisant, on revient dans les graves et médiums. Pourquoi ? Pour aller s'ancrer. Son cerveau, il lui a envoyé quelle information ? Ouh là là, c'est trop haut, là, je vais pas y arriver. Donc on redescend, on va retacler dans l'ancrage. N'est-ce pas, Laurence ? On va chercher dans le grave et médium pour s'ancrer. Et déjà, ça va beaucoup mieux. Et ensuite, ça amène un peu plus d'énergie, de puissance. Ah ! Tu peux le faire avec un peu plus d'énergie, ok ? Ouais. Alors vas-y, mets de l'énergie. Fais de l'énergie. Oui. Allez. Justement, regarde Dalida. Ça, ça me plaît, Dalida. Alors écoutez, vous avez pour vous cet après-midi, Yolande, Dalida. Imite-moi, Dalida. On va voir justement, ça me plaît de l'essence. Je vais tout raconter Avant de vous. Quitter L'histoire d'un petit village pleine d'impolies. Nous étions quatre amis Au balcon des samedis A jouer, à danser, toute la nuit Giorgio à la guitare Santorini avant d'au lire t'apprends du tambourin, et tout ce qui venait, c'était pour écouter celui. Qui faisait battre ton cœur. Et quand il arrivait, la fille ne s'écoutait pas. Arriba Gigi l'amoroso, dans qu'un amour absolu comme une caresse. Gigi l'amoroso, touche mon coeur, passe votre coeur, mais jamais sans embrasse. C'était la fête en Italie C'est un an où n'a qu'à plaisir Au soleil brillant Une riche Américaine Une riche Américaine lui proposa d'aller jusqu'à Hollywood C'est un lieu beau De tous les cas nous aurons envie d'y aller J'lui disais J'lui. Disais J'lui disais Allez ! Merci ! Allez, allez ! Énergie ! Nous voilà à la gare Avec tous les mouchoirs La la la la la La la la la la La la la la la La la la la. La. Et quand il arrivait, la foule s'est pliée. Arriva Gigi Lamoroso. Toujours la même garde, la face indienne, mais quand il allait à son nom. Gigi Lamoroso. C'était la fête en Italie. C'était la fête en Italie. C'était la fête en Italie. Elle a choisi une chanson. Alors, pourquoi tu aimes cette chanson ? Regardez bien. Parce que Lalida s'appelait Yolanda. Oui, c'est ça. Alors, Lalida, regardez bien, regardez bien. Vous aimez cette chanson. Des fois, il faut des chansons qui vous rappellent quelque chose ou alors qui vous parlent. Des fois, c'est pas forcément d'aller chercher à faire de la prouesse vocale. C'est quelque chose qui nous parle. OK. Qu'est-ce qu'elle te rappelle, cette chanson ? Les filles, on se met la perruque. Vous avez vu, justement, c'est un moment de joie. On met la perruque. On n'est plus en train d'embellir la chose. On est dans la joie, la bonne humeur. On lâche les boulets, on l'enlève, on nettoie. Tu peux bien avancer. Amuse-toi. Elle imite en plus. Mais sans le moi. Ouais. Super ! On est triste ? Ouais, mais quand tu l'as fait, toi en attendant, t'es dans la joie. Donc on s'en fout. C'est ça ? Ce que je veux dire, c'est que. Si tu en fais, tu amènes de la joie avec tes filles, il y a un moment de partage. C'est ça qu'il faut comprendre aussi, des fois. C'est, est-ce que la chanson, je la ressens ? Est-ce que la chanson, elle peut pas ? Moi, ça m'est arrivé des fois, on me disait, allez Camille, viens, on va chanter ça. Moi, en fait, je la ressens pas, moi, je la fais pas. puisque je ne pourrais pas l'écrire moi-même. Donc là, on voit qu'est-ce qu'on voit ? Là, on voit que ça l'anime, et là, tu pourras même retravailler avec ta maman, puis elle va redescendre un peu en dessous pour aller travailler sur l'ancrage, le grave, et tu vas voir. Pense à ta voix parlée, Maïda. Quand tu parles, tu n'es pas en train de le faire. Alors, ça va bien ? Ça va bien, on ne tient pas la voix. Quand je suis dans l'exclamation, j'en ai marre de toi. J'ai pas fait. J'en ai marre de toi. J'en ai marre de toi. Sur le mot, ça. J'en ai marre de toi ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! OK ! Regarde bien ! Hé, on est sous l'expiration là ! Tu lui fais monter là, dans les... Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'emmerdes ! Mais c'est difficile comme ça ! Attends, on va sortir tous les brumeaux de la terre. Mais ça nous fait du bien, ça nous m'énerve ! Qu'est-ce que t'as dit ? Regarde. Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Mais non, mais sur l'oeil ! Oh, t'es sur l'exclamation, là ! Oh là là, tu m'emmerdes ! Oh là là, tu m'emmerdes ! Oh là là, tu m'emmerdes ! Oh là là, tu m'emmerdes ! Oh là là, tu m'emmerdes ! Elle nettoie, elle nettoie, elle nettoie dans l'église chienne. Elle nettoie, elle nettoie dans l'église chienne. D'accord ? Et là, vas-y. Allez. Oh là là, tu m'énerves. Oh là là, tu m'énerves. Oh là là, tu m'énerves. Regarde tes doigts, vas-y, tu me regardes pas. Tu me regardes pas, c'est moi. Oh là là, tu m'énerves. Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! T'es complètement chiffré ! Le vélo, la natation, la course... Elle a raison ! Avec Olivier ! Oh là là, tu m'énerves ! Oh là là, tu m'énerves ! Ouais ! Alors regardez bien, bravo mon Yolande ! Alors qu'est-ce qu'on a vu là ? Quand vous êtes sur l'exclamation, regardez bien ce qu'on a fait. On est dans une société, je vous l'ai dit ce matin, très judo-chrétienne. Donc vous voyez qu'on chante, on se met, on a une posture, d'accord ? Prenez ces exercices. Quand je suis dans l'exclamation, quand je suis en colère, oh là là, tu m'énerves ! D'accord ? Là, automatiquement, accolement des cordes, plus, plus. OK ? Ou alors, dans la joie, oh là là, magnifique ! Je suis sur l'exclamation, je suis dans la joie. On vit des émotions. Vous savez, on est dans une société où on ne permet pas trop de vivre nos émotions. D'accord ? Et puis demain, il y a le feu chez toi. Tu vas faire quoi ? Tu vas faire... Allez ! Vite ! On sort ! Il y a le feu ! Vous imaginez si vous faites ça ? Allez ! Dépêche-toi, mon fils ! On sort ! Dépêche-toi, Bessie, tu vas... Ah là là, les doutes ! On sort, on sort ! Vite, vite, vite ! Hein ? Vous êtes dans l'appaulement. Pensez que quand vous chantez c'est un peu ça, aller dans cette énergie là, d'accord ? D'aller chercher un peu cet effet de, comment dire, de je suis dans l'émotion de quelque chose, vivez l'émotion, allez vous référer à l'émotion. Là on était dans la... Vous entendez ? Je ne fais pas... à faire ça d'accord sur cette chanson pour l'instant après vous êtes en chorale c'est autre chose d'accord donc là comprendre qu'on était sur une émotion de colère et que la voix automatiquement parce que vous le faites ça il faut vous êtes en colère et que votre voix vous la sortez vous n'êtes pas en train de vous dire je vais pas trop la sortir quand on est en colère je vous dis qu'elle sort c'est clair pour vous ok on y va merci Yolande C'est pas ça. Déjà, c'est d'apprendre. En fait, vous savez pas ce qu'on travaille là. On est en train de travailler vraiment sur, si je puis dire, sur les mécanismes, sur la hauteur des notes. On est en train de travailler sur les modes vocaux. D'accord, il y en a plusieurs qui existent et c'est ça qu'il faut réussir à mettre en place. D'accord ? Alors, on va chanter. On peut faire quoi, Mapegu ? Alors, peut-être qu'on va... Non, mais peut-être que tu peux m'aider. Dis-moi. Ouais ! Ça, j'avais hésité, en plus, à vous la faire faire. C'est la première chose la plus facile que tout le monde connaît. Exactement. Qu'est-ce qu'on pourrait leur faire faire, justement, pour aller sur l'énergie, activer l'énergie ? La journée ? Non, passer l'énergie sur l'énergie. Allumer le feu. Allez, super. On fait ça ? Ouais. Les paroles. Allumer le feu, allumer le feu et faire danser le diable et les dieux. Les diables et les dieux. Donc allumer le feu et faire danser les diables et les dieux. Ça va pour toi Karine ? Tu redis les paroles, allumer le feu et faire danser les diables et les dieux. Ok, là vous êtes sur une échelle de 10, vous vous mentalisez à combien ? À dix, c'est bon. À dix, ça arrivera pour le clean. Allumez le feu ! Allumez le feu ! Les canons, c'est... les diables et les dieux. Allumez le feu, allumez le feu et ne pas danser. Les diables et les dieux. Allumez le feu, allumez le feu et ne pas danser. les diables et les dieux. Allumez le feu, allumez le feu, les feux avancés, les diables et les dieux. OK, comment c'était là ? Ça va, Yolande, c'est correct ? C'est pas grave. Des fois, si ça arrive un petit peu, ça, ça veut dire que ton corps t'envoie des informations. Ne vous inquiétez pas, tu ne vas pas perdre ta voix. OK ? Ça arrive des fois. On doit se confronter, on doit se brûler un peu. La pression sur le butique, elle est là pour nous envoyer de ce qu'on ne doit plus faire ou refaire. D'accord ? On le refait encore une fois. Ça va pour vous ? Allez, c'est parti. Ouais ? On y va ? On fait partie, vite fait. Allez, vas-y. Les sopranes ? Oui ! Oui ! Oui ! Allumez le feu ! Allumez le feu ! Et faire danser l'éclat de ces yeux ! Allumez le feu ! Allumez le feu ! Et faire danser C'est ta présence, c'est ta présence. Par les murs, oh ! Par les murs, oh ! Allumer le feu ! Allumer le feu ! Et faire danser les diables et les dieux Allumer le feu Allumer le feu Et faire danser les diables et les. Dieux Ok, comment ça va pour chacun ? Pour qui ça a été quand vous chantiez ? C'était mieux ? Pardon ? Ça rentre. Il faut faire de la répétition. Retenez toujours, je suis un trop électrique. Quand je chante, je suis active, je ne suis pas basique. OK ? J'ai une échantillonne d'énergie de 1 à 10. OK ? C'est pourquoi je ne chante pas ma théorie. Allez, super ! Viva la vida ! On y va, c'est par là. Relâche ! Topla l'homme à main, topla hopla, topla encore une fois ! Topla l'homme à main, topla hopla, topla encore une fois ! Topla l'homme à main, topla hopla, topla encore une fois ! Viva la Viva la Vida ! Vida ! Viva la Viva la Vida ! C'est du baissant, décalé, super ! T'arrives en bas, la rue est là, tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-tou-t Tu rêves de beau temps, ne viens pas La vie, c'est la vie qui va Viva la vie, viva la vida Vida C'est là qu'on vit, là qu'on bat Viva la vie, viva la vida Du-du, du-du Du-du, du-du Du-du, du-du Du-du, du-du Du-du, du-du Sur les trottoirs, c'est la télé, boules de tous les côtés. Tu te surprends à regarder. Un malou soit qui vit au début inconnu. Il y a tous les buts, mais ça m'a ouvert l'une. Allez, top, là dans ma main, top, là, hop, là, top, encore une fois. C'est toujours mal au chez-toi. Top, là dans ma main, top, là, hop, là, top, encore une fois. C'est tellement beau que t'y crois pas La vie c'est la vie qui va Viva la viva la vida Vida C'est la combi la combat Viva la viva la vida Les yeux et du doigt, tu me l'envoies. Chant le soleil, chant chaque mois, tu m'appuies par la vida. Tu, tu, tu, tu. Tu, tu, tu, tu. Ok. Vive la, vive la, vive la, vive la, c'est la vie de la combat. Vive la, vive la, vive la, vive la, Salut, c'est la vie qui va ! Viva la, viva la vida ! Vida ! C'est la combi, la combat ! Viva la, viva la vida ! OK, bravo ! Alors, vous êtes plusieurs, vous osez lâcher. Je ne sais pas si vous vous percevez, dès qu'on se met seuls, je vois tout votre corps qui a une énergie, qui a envie de donner. Et puis, dès qu'on se retrouve seuls, on se sent un peu nus. D'accord ? C'est ça qu'il faut comprendre, c'est que quand vous êtes... Vous vous rendez compte du champ vide qu'ils portent sur les épaules ? On est devant, on est à nu, hein ? D'accord ? C'est chaud, hein ? D'accord ? Donc essayez de penser quand vous chantez seul chez vous, comme si vous aviez plusieurs personnes autour de vous et que vous êtes dans ce système choral. Hein, d'accord ? Après, il faudrait vous entendre un par un. Mais c'est déjà très bien. Vous avez vu l'effet qu'on montre, ce que ça fait ? C'est magique, hein ? Eh oui, c'est ça. Eh oui, il y a vraiment... Il faut comprendre que le chant vide et le chant choral, c'est deux mondes différents, mais en même temps, c'est pas si différent que ça. Vous avez vu que le fait de chanter ensemble, eh ben, on a envie d'être dans la même énergie. OK. On peut en refaire une autre, Nopégou ? T'en as une autre ? Vous savez, tout à l'heure, quand vous étiez sur la chanson, là, amener votre ventre. Vous avez vu, mesdames ? Quand on est avec Jeanne, vous faites d'amener le ventre, vous allez croîter. Là, il faut plus d'énergie. On peut le refaire, ça, deux secondes, juste là, si c'est là-dessus. Allez-y. Là sur l'échelle, on est à 4. On est à 4. OK. Ok, très bien. Ils n'ont. Pas pu en voir. Ce n'est pas grave. Comprenez bien que quand vous prenez vos voix, plus vous allez monter sur la fréquence, d'accord ? Et plus vous allez devoir amener d'énergie à retenir. C'est très important. Ok ? Là, vous êtes sur Bélier-en-Mer. Combien vous êtes sur une échelle ?