Les quatres accords toltèques - notes de lecture

Highlights

La discipline du guerrier :

On doit pardonner à tous ceux qui nous ont fait du tort, non pas parce qu’ils méritent d’être pardonnés, mais parce qu’on s’aime tellement soi-même, qu’on ne veut plus continuer à payer pour les injustices passées. Le pardon est la seule façon de guérir. On peut décider de pardonner par compassion pour soi-même. On peut se détacher de tout ressentiment et déclarer : Cela suffit ! Je ne serai plus le Juge qui me tyrannise. Je ne m’en voudrai plus et ne me maltraiterai plus. Je ne serai plus la Victime.

La discipline du guerrier :

Lorsque vous vous serez pardonné, le rejet de vous-même disparaîtra de votre esprit. Ce sera le début de l’acceptation de vous, et votre amour-propre deviendra si fort que vous pourrez finalement vous accepter tel que vous êtes

La discipline du guerrier :

Vous saurez que vous avez pardonné à quelqu’un lorsque vous serez capable de le voir sans réagir émotionnellement. Même en entendant le nom de cette personne, vous n’aurez plus de réaction. Lorsque quelqu’un peut toucher l’endroit où se trouvait une plaie et que cela ne vous fait plus mal, vous savez que vous avez vraiment pardonné.

La discipline du guerrier :

La vérité est semblable à un scalpel. Elle est douloureuse, car elle ouvre toutes les plaies recouvertes par des mensonges, afin qu’on puisse guérir. Ces mensonges constituent un dispositif de déni. Ce dispositif est une bonne chose, puisqu’il nous permet de recouvrir nos plaies et de continuer à fonctionner. Mais lorsqu’on est débarrassé de toute plaie et de tout poison, on n’a plus besoin de mentir. Le dispositif de déni n’est plus utile, car un esprit sain, comme une peau saine, peut être touché sans que cela fasse mal. Lorsqu’il est propre, sain, l’esprit aime être touché.

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